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samedi 20 novembre 2021

Vous êtes sans doute au courant, la COP26 a échoué. Le projet de couverture de ces délibérations internationales sur le climat que je propose en bas de même. Pas de quoi se réjouir, mais une prise de température assez convaincante sur les vraies priorités et choix des gens.

Le sujet devient donc de plus en plus politique - les raisons de l'inaction sont humaines, sociales. La carcasse de la société est sclérotique, incapable de se mouvoir. Ceux qui essaient, comme moi j'essaie, d'être force de proposition, sont enfouis dans les bas-fonds de la société. C'est plus que de l'ignorance, c'est de l'ignorance volontaire, voire de la censure par omission.

On peut dépeindre le phénomène, même le sentir, sans pouvoir établir des vraies chaînes de cause à effet. La liberté des uns s'achète avec la contrainte des autres. L'ignorance volontaire milite contre la liberté de mouvement et d'association, contre la mise en commun de nos ressources.

Et pourtant, en principe, on a tout pour faciliter la création de l'intelligence collective par rapport aux enjeux climatiques. Ce que l'on n'a peut-être pas est assez de temps pour le faire - la cible bouge, elle accélère, elle risque de nous échapper. Avoir raison n'est pas suffisant, il faut passer à l'acte - même, à la limite, sans raison - puisqu'on trouvera plus de raisons en faisant qu'en ne pas faisant.

Une émission radiophonique sur Nietsche hier soir (avec Barbara Stiegler) a provoqué beaucoup d'harmoniques de pensée dans ma tête : "tout est cadence ou rythme", du plus petit au plus grand. Nos sens captent donc des cadences, à vrai dire - nos oreilles détectent des vibrations, nos yeux des ondes, notre toucher des variations striées de pressions et d'intensité, notre odorat les vibrations des molécules. L'espace-temps paraît invaincu et indivis, à tout niveau, à toute échelle. Les objets sont tous en devenir. Rien n'est écrit dans le marbre.

Il est donc indispensable de reconnaître que la "mise ensemble" de l'humanité et de son environnement est le sujet du jour et des années à venir. Terminé la Balkanisation entre artificiel et naturel. Terminées les "externalities": les "dommages collatéraux" dans des "pays tiers".

Le numérique, dans la mesure qu'il interrompt et tord les flux de la vie à mauvais escient, doit étre réformé à l'usage du vivant. Mais même avant, le vivant doit se trouver en position de pouvoir agir, sans s'attendre à ce que des instruments démobilisateurs de son autonomie - de son pouvoir d'agir social - se rebootent. L'humain doit se réinventer lui-même en tant qu'être socialisé s'il espère avoir des instruments à sa mesure.

Cela se fera-t-il? On peut douter de cela. L'équilibre des forces paraît favoriser massivement les "géants" amorphes de l'internet et ceux qui s'y attachent. La média de l'état plutocrate parle de false news et de théories de la conspiration, pour détourner le regard d'une réalité qui n'a aucun besoin de ces théories pour être déjà dévastatrice. Oui, les dirigéants de chaque pays jouent leurs propres intérêts nationaux et le proclament, haut et fort. Oui, la plupart de l'humanité n'a plus de liberté de mouvement entre les pays, même au sein de son propre pays. Les extrèmes de climat et d'appauvrissement de la biodiversité qui nous attendent dans les proches années à venir créeront de plus en plus de conflits entre-étatiques pour les ressources, mais aussi entre les différentes couches de chaque société.

Le monde de demain qui se déclare n'est pas un monde viable pour tous, mais pour une minorité. Les responsables d'aujourd'hui ne se portent pas responsables pour le sort de l'humanité, encore moins du vivant. Au contraire, ils utilisent de plus en plus les machines pour remplacer les humains, les produits artificiels pour remplacer les cycles du vivant. On ne peut qu'observer que cela prépare le terrain pour le némesis de la plupart d'entre-nous, plutôt que l'inverse.

En tous cas, le but de l'émission proposée reste, articulé tant bien que mal, dans les écrits ci-joints. Comme une expérience Popperienne, la COP26 peut nous faire beaucoup de bien, en remettant incontestablement entre nos mains, sans qu'il existe encore une trame, notre destin.

 

mardi 10 août 2021

Carbone neutre quand ?!

(radioprog couverture COP26 à Glasgow [automne 2021], titre provisoire)

Proposition d’émission hebdomadaire sur la COP26 et l’écologie sociale, composée d’interviews, de tables rondes, de « sons » et d’interactions ( d’une à deux heures, le vendredi midi)

En automne 2015 a eu lieu une série de douze émissions hebdomadaires (Septembre-Décembre, sur Radio La Locale, à Saint Girons en Ariège) pour couvrir le COP21 à Paris, comprenant plusieurs interviews d’acteurs locaux. Cette année, je répète l’expérience, dans le cadre « Toulouse métropole et plus loin » avec une volonté affichée (vous la voyez, non?!) d’un travail collégial et fédérateur, cette fois-ci par rapport au COP26 à Glasgow en >Écosse, le salon de la dernière chance.

Sur tous les trucs modiques comme YouTube (?), et en site web en créant des sons, de la vidéo, des interviews et du visuel, avec plein d’interlocuteurs. Ce document sert aussi d’invitation à participer à l’affaire – que le mot passe ((SVP) !

Comment fait-on ces émissions de gaz à effet d’anti-serre ?

On décortique les émissions en déplacement (en voiture, à vélo, dans le parc) sur le tas, désinvoltément. On fait de la « voie publique » son « studio radio », avec l’aide de ses amis et de leurs portables inamicables. Ce qui n’empêche pas l’intégration et la syndicalisation avec des radios locales et d’autres médias. Néanmoins, le site de repère existant est www.cv09.toile-libre.org , où vous trouverez ce document en cours de révision entre autres – et son courriel est le mode de contact avec l’équipe éditoriale – inecodyn@singularity.fr .

Douze émissions hebdomadaires en déplacement programmées
(octobre-décembre 2021)

Émission : Compans Caffarelli (au parc, Toulouse)
Émission : Jardin des Plantes (pareil)
Émission : Montagagne (Ariège)
Émission  : Mariax (Ariège)
Émission : Daumazan/Montbrun-Bocage (09/31)
Émission : Saint Girons (09)
Émission : Bleu-bleu, sur la Garonne, au-dessus de Toulouse
Émission : l’après-ZAD – maison forestière, Forêt de Sivens (Tarn)
Émission : Villemur-sur-Tarn (31) (moulins à eau - hydrologie)
Émission : COP26 Glasgow – engagements de nos dirigeants / de nous-mêmes
Émission : récapitulatif - Capitole
Émission : état du lieu Terre

Programme structure

Revues : table ronde pour discuter des œuvres et des écrivain/es « germinales » / clés de l’écologie actuelle (exemples : Naomi Klein, Joseph Henrich, Xavier Moulhianne, …)

Musiques et jingles : musiciens en plein air (parcs, qui font la manche, etc.) avec plein de sons parasites / ambiances sonores variées – autoroutes, merles, hérissons en nuptiales, entre chiens et loups, etc.

Dictées : prétexte pour lire de la poésie légèrement tordue

Actualités conférencières + discussion, démystification : COP26, Glasgow … en quoi cela nous est-il est pertinent … ou pas ?

Sujets de contemplation : discours, concepts, « questions à élucider », fabulations

Mission

C’est un peu dans le but de montrer ce qui ne va pas et ce qui va pour mieux identifier ce qu’on peut changer en termes d’infrastructure sociale (l’entre-nous) pour que cela aille pour le mieux, pas pour le pire, globalement et localement – une tentative de recherche de consensus actif.

Autrement dit – on fait de l’écologie, on note ce qui nous entrave le pas, on rectifie le tir, on nettoie les embûches sur le chemin (dans des boucles d’apprentissage retro-actives, pour ne pas vous noyer dans le jargon de l’épopée du « vivant »).

L’intention est d’avoir une approche éditoriale de l’écologie raisonnée. « Raisonné » signifie « modéré » par rapport aux exigences écologiques réelles. Si l’on tente d’identifier la racine d’un problème, de proposer des remèdes à l’origine du mal, on n’est « radical » que dans ce sens primaire, … si on ne s’est pas trompé d’origine – de racine.

Par exemple, étant donné que toute tentative de réduction de nos besoins énergétiques à 5 fois moins en moyenne (pour rester à moins de 1,5 à 2 degrés de hausse du réchauffement climatique) doit forcément nous faire aborder la question de ne pas utiliser de voiture privée en campagne, comment remplacer cette infrastructure dédiée à la voiture à un usage proprement cohérent en termes de profile de consommation écologique / énergétique, en termes de besoins directs humains et pas en termes d’accommodation du paysage au véhicule (au poids lourd, au tracteur). La conversion en voies vertes de chemins de fer à l’abandon est un exemple de ré-outillage d’une infrastructure de transport industriel désuet. Mais les « ayants droits » y roulent dessus et cassent les pistes cyclables encore ! Il se peut que nos routes automobilières verront le même sort.

Notes (candidates à l’inclusion, si elles se portent bien)

Fréquentable

Quelle niche sociale (écologique) occuper dans un collectif ? Un conseiller vient se faire consulter. Un artisan prononce son devis et repart. Une troupe de comédiens ou une association extérieure passe une fin de semaine agréable. Être « membre » du collectif ou pas, être « inclus » ou « exclus » ne s’applique pas aux interactions vues comme transitoires ou bien cernées. Y-a-t-il moyen de décontracter notre occupation de l’espace pour nous donner plus de place ? Sommes-nous tous des transfuges, cherchant refuge ? Où est notre maison ?

On peut se sentir, tout en résidant dans un lieu, dans un lieu touristique par exemple, comme surnuméraire, surtout si les gens de passage viennent occuper cet espace avec toutes leurs choses et toute leur bouffe, en véhicule. Comment arriver à un juste milieu ? Si le passeport devient vieux jeu, comment allons-nous caser les réfugiés climatiques ?

D’entre les facteurs dominants est le stress social (démographique). Plus il y a de stress, plus il y a de critères d’acceptation dans le sein d’un groupe « statique » (ou « sédentaire », « propriétarial », « centraliste », national, régional, comme vous voulez). Mais des solutions existent. Pour « détendre » les relations sociales, on les « dynamise », c’est-à-dire qu’on les rend fluides, mouvantes, en équilibre dynamique. Cet univers social réel peut être aux Antipodes de la précarité, fort et robuste, si l’infrastructure humaine est bâtie pour s’y accommoder.

Proposition : les fonctions « Accueil » (hospitalité), « Orientation » et « Intégration » sont les clés de la réussite de ces équations sociales. Qui a le droit et le devoir d’y participer ? On peut très bien commencer avec « ceux qui sont là », les « sans titre ».

Quel est le rapport avec l’écologie ? Un mode de vie moins concurrentiel nous est nécessaire pour que le conflit ne vienne pas tuer dans l’œuf toute œuvre positive. Ce sont les « solutions sociales » à l’occupation de notre espace-temps qui sont les vraies « solutions techniques » à la casse-tête écologique.

Avancés dans le Mal

Progressistes – souvent un terme d’abus, c’est ça que cela veut dire. Dans cette analyse, les pays les plus développés, technologiquement et économiques, selon les critères du paradigme industriel, sont ceux où on trouve les gens qui ont l’appréciation la plus viscérale de la nature du mal écologique. Leurs sociétés d’êtres humains socialement déconstruits et dysfonctionnels, souvent en mauvais état tant physique que mental, s’entretiennent avec des dépendances marquées sur ce qui « n’est pas nécessaire à la vie », comme les voitures et d’autres consommations à excès. Les « civilisés » de cette planète sont à plusieurs échelles désensibilisés et distanciés de la vie physique, somatique, la vie de contact avec son proche environnement, dont tout être vivant serait normalement béni ou maudit. Le soif de l’altérité et de la nature naît ainsi.

mardi 31 août 2021

La Route

Après une intervalle de trois semaines, je reprends la discussion des émissions de radio projetées pour cette automne.

Entre temps, j’ai fait le tour en vélo du proche étranger de Toulouse Métropole. Depuis haut dans la montagne de l’Ariège, en partant de Toulouse, je suis passé d’abord à Saint Girons (09), ensuite à Saint Gaudens, à Saint Bernard en Comminges, à Bagnères de Luchon (31), pour ensuite prendre le col de Peyresourde et passer au lac de Loudenvielle en Hautes Pyrénées (65). En passant par Arreau et Lannemazan, je suis entré dans le Gers (32), à Marciac et ensuite Auch, pour remonter par Villemur-sur-Tarn sur la Forêt de Sivens dans le Tarn. Je suis revenu à Toulouse après trois semaines de vadrouille en pleine cambrousse. Ce faisant, j’ai suivi une grande tracée des ressources, tant hydrologiques que naturelles, de l’époque romaine à nos jours, de la source à l’épuisement de ressources ...

Pour que l’écologie humaine de la planète soit consistent avec toutes nos espérances de vie – et puisque nous, humains et nos dépendances représentons peut-être 80 % de la nature qui reste sur cette planète, cette considération du vivant fait de l’écologie sociale humaine le sujet le plus brûlant pour nous tous, animaux, plantes, tout le monde.

La vie est une vaste trame d’entropie négative, qui s’auto-entretient, qui introduit un ordre planétaire du vivant. Nous sommes en train de remplacer ce système du vivant par un système de machines, coupé du vivant, sans s’y adapter. Mon périple des départements autour de Toulouse m’a largement confirmé l’existence d’une campagne industrielle, et même proto-industrielle, qui est en train de tuer la biodiversité, cramer nos ressources en eau et contribuer très largement à l'accélération du réchauffement climatique.

Ici-bas quelques notes prises sur le chemin, pour des sketches et des sons radio entre autre, pour les émissions de l’Automne 2021.

Poèmes dictés – quelques exemples

What word ?
This world is horrible and corrept
Corrupt, corrompu

In terms of our ocat
Aknowl – (archæology, a university discipline)

What is How do you say « World » in French ?

a) I don’t know
b) I don’t understand
c) The answer to the question

- Le Monde
La Terre

Mercredi 11 août

Poésie Da Fé

Chacun dans son petit monde
Seul, avec et contre tous
La masse amorphe, des amis
Peut-être ...

Méfiant il se muscule
Bouffi, il se félicite
La silencieuse contamination
Des grands et des gros a lieu

Que les transcients, les translucents
La queue leu leu, fassent
Semblants, eux aussitôt
D’avoir lieu d’être masse
D’exister là !

Visualisation

Cabanes-serres de transformation
Bassins et cours d’eau
Amphibithéâtre
« Désirs d’effondrement » compulsifs
Comment s’organiser collectivement ; développer, créer l’imaginaire (La Belle Verte)

- Décoloniser nos imaginaires
- Futur désirable …
- Moins de besoins artificiels

VéloReporteur

à vélo et alentours
« profile basse » (très très basse : Sarkhozy rap)

Paysagiste

dans tes rêves de l’empathie artificielle

Paysagie

J’ai l’impression que vous n’avez pas le temps
mais tout mon temps est en attente de vos besoins

J’ai l’impression que votre temps compte pour beaucoup, pour vous
Et le mien pour rien

D’avoir tellement réussi ma vie
Que je n’ai qu’à attendre

Le Vacarme du monde qui n’attend
Qu’à m’engloutir

Je reste discret

Responsabilité

Il faut gérer ses chiens. Il faut agir en coresponsabilité avec les siens, ses semblables.

Il ne faut pas laisser les chiens mettre à bas l’écologie du pays, il ne faut pas que le chien chasseur soit le décisionnaire du sort, l’exécutant sanguinolent de son maître décisionnaire.

Le « gibier » - les animaux qui « méritent » d’être chassés – y ont aussi le droit à l’existence – nous avons détruit leur pays et lâché les chiens. Leur nature montre bien la nôtre.

Marchés

Les fruits de son œuvre :

- manches d’outil/ cuillères ;
- pilons / mortiers ;
- vannerie (sacoches, paniers).

Matériau

La fatigue des accords

Rattaché par des ficelles
Des leurres des liens qui tirent
Entre le double clou de l’avenir et du passé
Des étoffes dont on tisse le pli
Dans un acte de fermeture pour clore l’avenir

On a besoin parfois d’oublier la vie
De flotter dans le terrain vague du rêve.
Là où l’espace et le temps jouent libres
Où les cordes, les clous, les pointes se forment autour des méandres de l’immatérialisation

Ségalas, lundi 16 août 2021

Guerre de mouvement :
Contre guerres de propriétaires

Soyons francs : rester statique en rapport de faiblesse porte la défaite.

Mieux vaut bouger, en tous cas. Une guerre n’est jamais déclarée : elle est sourde, mais elle est.

Après, la guerre écologique, quel cliché oxymoronique.
Cela n’empêche en rien la stratégie – la stratégie industrielle fait naître la stratégie écologique.

Intimidation

Ce mot, le mot « menace », brimade, bizutage, nudge, ..

Tous sont des mots « influenceurs ». Ils ont en plus une connotation de « contrainte » ou « contre la volonté de », sans l’assentiment de celui qui les subissent.

S’il existe un phénomène, il faut bien des mots.

La stratégie à adopter, face à cet ensemble de faits reconnus, n’est pas du tout évidente.

J’ai entendu aujourd’hui que le Président Afghan a fui son pays, à Uzbekhistan, un pays qui « n’aime pas le Taliban ». Entre d’autres commentaires tendancieuses et pas du tout neutres, le correspondent a suggéré que ce serait par manque de courage, face à l’exécution potentielle qui l’a fait fuir.

Ah bon ? Donc on a à croire que le Président de l’Afghanistan manque de courage ? Comment se fait-il alors qu’il était en poste, alors ? Apparemment, pour le reporteur, avoir du courage, c’est se laisser tuer.

Faut-il aimer la vie, se la défendre, ou renoncer à la vie – sa vie ?

L’intimidation existe aussi dans les paroles du correspondant Radio France. Quelle réception aurait l’ex-président Afghan en France ?

Humiliation, dédain – publiques – on vient de le faire – ce n’est pas un acte politique … ?

On parle beaucoup de droits humains, peu de dignités. Pourtant, ce sont des ressentis intenses. Il est difficile de préciser ce qu’est une « dignité ». Il est plus facile pour des cas d’indignité indéniables, sauf que « mériter » une indignité (humiliation publique) peut paraître justifiable/ acceptable dans beaucoup de cas à beaucoup de monde.

Attention à la dignité de l’espace publique, avec cette dignité vient le droit à la liberté de mouvement, la liberté d’association et la non-censure. Il y a des gens qui restent dedans, pour ne pas affronter l’humiliation dehors.

C’est de la politique, ça ? Dans le sens « social », oui. La politique traite de l’entre-nous. Le repli social nie l’espace à autrui, le « nous », il l’a redéfini.

jeudi 19 août 2021

cependant, est-ce qu’on sait ce qu’on a fait ?

Angoisse écologique
Une pathologie, c’est quand c’est malfondé.

Dimanche 22 août 2021

Réseaux sociaux

Miélan, lundi 23 août 20212021

Trafic

Ce n’est pas que moi je ne supporte pas le bruit des voitures, c’est que l’être humain ne le supporte pas. On n’est pas équipé. Ce bruit nous soumet. Nos maisons insonorisées sont nos derniers refuges.

Marciac

mercredi 1 septembre 2021

Hallé op ! au Collectif

jeudi 22 septembre 2021

chemins croisés

- musiciens (milieu estudiantin)

- les radins de la colère

- l’idiocratie – un éveil après cent ans de cryogénisation d’un soldat qui se trouve entouré d’une humanité devenue idiote. La stupidité collective, existe-elle vraiment et est-ce qu’on peut la congeler pour du bon ?

- Cherchons des enregistreurs, vieux portable, vélos – il y a le Zinc, Robotica, Trie sera Top, vous en avez des listes – pistes ?

- lieux – jardins partagés, gîtes de passage

- programme structure (réphysicalisation/rématérialisation dynamique)

- sujets à interviewer, exemple : Mairie de Toulouse à l’égard de sa politique de fauchage des « espaces verts » pour les rendre jaunes – discrimination positive ou négative ?

- sujet : chaîne du froid et d’emballage des légumes terreux, des œufs non entiers en briques, de la malnutrition par non-assimilation par les spécialistes en vidange d’un surplein de nutriments indigestes, plutôt qu’en l’extraction de nutriments d’un régime maigre.

dimanche 29 août 2021

Les « 7 Voeux » écomonastiques – quelle est la potentialité de ces approches ?

- Vouer de ne voyager qu’en non-assisté (énergétiquement et GPSement)

- Vouer de ne consommer qu’écopositivement

- Vouer de calculer (même approximativement) son bilan / empreinte écologique / énergétique réel

- Vouer de baliser et d’ouvrir aux autres le chemin de la liberté écologique, ses lieux de stockage, d’hébergement, de production et de transformation à la légère

- Vouer à promouvoir l’essor pédagogique de l’écologique (écoles linéaires, vectorielles)

- Vouer de convertir la nuisance de sa présence en bienfaisance, d’être ami de la Terre, de ses Consœurs et frères

- Vouer de ne pas torturer les poissons en les repêchant sans les tuer